Cidres : Kerisac investit dans la mise au froid
« Le plus cher, pour une cidrerie, c’est le stockage, car toutes les pommes sont cueillies et pressées en deux mois. Ensuite, tout est conservé à l’état de jus de pomme », explique Laurent Guillet. Le directeur commercial de Kerisac sait de quoi il parle.
Pour gagner en qualité et en régularité, il a investi plusieurs centaines de milliers d’euros, l’an passé, dans la construction d’un nouveau bâtiment couvert en froid tempéré de 600 m2. Celui-ci permet à la cidrerie, basée à Guenrouët en Loire-Atlantique, d’accroître sa capacité de stockage de 23 000 hectolitres. Sur un volume total de 55 000 hectolitres, environ 40 000 hectolitres de cuves sont désormais conservés en froid tempéré.